2021
09
août

Malte/Sarah et Amelie

 

Malte est, du point de vue architectural, une très jolie ville ; beaucoup d’églises, de remparts et d’arcs de triomphe. La Marina Di Valetta est toute neuve mais un peu décentrée. L’ambiance n’est pas terrible, il fait très très chaud et le personnel des bars ou autres magasins n’est pas toujours aimable. Nous trouvons malgré tout un excellent restaurant pour le soir. Nous allons faire les courses et le nettoyage du linge en taxi avec à chaque fois des chauffeurs très serviables et sympathiques. Sarah et Amélie arrivent le lundi soir et dès le lendemain nous allons acheter un paddle. Puis après quelques formations à la manœuvre nous quittons La Vallette pour un mouillage plus au nord. Les premières criques sont très encombrées de nombreux bateaux locaux principalement à moteur. Nous trouvons la cala San Marku très sauvage et très agréable pour notre nuit en mer.

Le lendemain nous réussissons à mouiller à Paradise bay pour le déjeuner, la baignade et le paddle. Le soir nous voulons nous arrêter à la baie « Blue Lagoon » mais trop de bateaux et trop de bruit. Nous mouillons plus loin « Cala San Niklaw » ; beau mouillage un peu stressant car près de la côte. En fait après mesure au laser de nuit il reste 80m ce qui nous rassure. Durant la nuit le vent se retourne et le bateau aussi mais il reste 30m de mer entre nous et les rochers.

Jeudi nous faisons le tour de l’ile de Gozo pour manger dans un très bel endroit : Cala Dwejra. Le soir quand nous arrivons à Marsaform notre mouillage est encore trop encombré et le village de pécheurs s’est transformé en usine à touristes avec buildings. Nous continuons pour mouiller dans la baie IR Ramla, pas très protégés mais l’ancre tient bien. Nous quittons Malte pour l’Italie ; Marina di Racusa au sud de la Sicile.

Le service de la Marina est très bien et la ville est un haut lieu touristique prisé pour ses plages sur lesquelles s’entassent de nombreux vacanciers. C’est agréable de retrouver la foule pour un soir. Le départ de la Marina se fait sans encombre et nous nous arrêtons en pleine mer, à la dérive pour déjeuner.

L’après-midi nous entrons dans le port de Licata quand une maman dauphin et son petit nous font la surprise dans l’avant-port. La marina di cala del sole offrait un bon service avec du personnel parlant français. La ville faisait un peu vieillot et ne présentait pas d’intérêt.