Nos corps se souviendront du Rocher de Gibraltar, 426m de hauteur à grimper sur 4 km sous le soleil et bêtement sans eau on a un peu souffert mais la vue est magnifique sur le détroit, sur la baie, sur les bateaux et sur les singes. Nous décidons de partir le soir 18h30 il n’y a pas de vent, c’est une nouvelle expérience.
En fait nous passerons 2 nuits et une journée en mer pour arriver au matin à Carthagène ; le tout au moteur dans une mer d’huile. Nous retrouvons des dauphins plusieurs fois dans la journée mais cette fois en chasse, peu de saut ou de promenades sous Toklo . Une journée à Carthagène nous a permis de découvrir une très belle ville, de visiter un théâtre romain antique et d’apprécier les restaurants complets en soirée. La météo nous prévoit beaucoup de vent et nous rentrons le gennaker dans la pointe.
Le lendemain le vent n’est pas là ; une petite brise tournante nous oblige à remonter le gennaker ou à marcher au moteur dans une mer assez calm. Nous reverrons des dauphins mais le temps se couvre et nous passerons la nuit au moteur sous la pluie. Nous découvrons les iles d’Ibiza et de Formentera dans la brume et prenons contact avec les ports d’Elvissa pour trouver une place . Surprise vous devez avoir un test PCR de moins de 3 jours avant de pouvoir débarquer. Nous contactons la Marina Santa Eulalia 20km plus au nord qui accepte que nous débarquions pour faire un test PCR à Elvissa, ce que nous ferons la nuit s’annonçant très venteuse (40 nouds)
Nous passons un peu de temps à Santa Eulalia car Jean Marie nous quitte pour prendre l’avion mercredi matin. Nous avons environ une semaine pour découvrir les mouillages des iles baléares avant de rejoindre la Sardaigne.
Aujourd’hui avec le soleil c’est magnifique.
super les vacances 
lever de soleil 
Carthagène 
entrée Ibiza 
Santa Eulalia 
Santa Eulalia
